RETOUR EN HAUT
Ce livre a pour objectifs de vous distraire, de vous surprendre, tout en vous instruisant. Un index terminal donne bien sûr les solutions.
De verbe en verbe, vous découvrirez ici le plaisir profondément ressenti queSoigner fournit aux médecins. Dans cet ouvrage comme dans les précédents, par messages directs ou clins d'il plus subtils, Bernard Lebeaurévèle, informe, divertit, surprend, émeut, questionne.
De verbe en verbe, vous découvrirez ici le plaisir profondément ressenti queSoigner fournit aux médecins. Dans cet ouvrage comme dans les précédents, par messages directs ou clins d'il plus subtils, Bernard Lebeaurévèle, informe, divertit, surprend, émeut, questionne.
« Vouloir transmettre par le Verbe car, si le corps, matériel, cellulaire, meurt tout au long de la vie, l'esprit demeure et diffuse ses informations au-delà de la mort, jusqu'à Dieu seul sait quand. Ce vouloir, j'y adhère ; j'essaye de transmettre. »
« Vouloir transmettre par le Verbe car, si le corps, matériel, cellulaire, meurt tout au long de la vie, l'esprit demeure et diffuse ses informations au-delà de la mort, jusqu'à Dieu seul sait quand. Ce vouloir, j'y adhère ; j'essaye de transmettre. »
Je poursuis dans ce livre ma série de verbes Essayer de transmettre. Après la mort, après la vie, après la médecine, avant l'histoire puis l'amour, je vous propose de réfléchir maintenant sur nos croyances. Bien comprises, nos différences nous enrichissent.
Je poursuis dans ce livre ma série de verbes Essayer de transmettre. Après la mort, après la vie, après la médecine, avant l'histoire puis l'amour, je vous propose de réfléchir maintenant sur nos croyances. Bien comprises, nos différences nous enrichissent.
L’homme de notre société occidentale ne sait plus mourir; ses médecins ne savent plus que faire. Face aux insuffisances quantitatives (en personnel et en locaux) et qualitatives (manque de formation à l’aide à la fin de vie), responsables de souffrances des mourants ou d’actes inconsidérés des soignants.
l’homme de notre société occidentale ne sait plus mourir; ses médecins ne savent plus que faire. Face aux insuffisances quantitatives (en personnel et en locaux) et qualitatives (manque de formation à l’aide à la fin de vie), responsables de souffrances des mourants ou d’actes inconsidérés des soignants.